
Selon une étude récente, un tiers des grands-pères et les grands-mères mettent de l’argent de côté pour préparer l’avenir de leurs petits-enfants.
Quand il s’agit de leurs descendants, les papys et les mamies ne rechignent pas à mettre la main à la poche. D’après L’Observatoire E.Leclerc des Nouvelles Consommations, publié le 11 avril 2019 et réalisé par l’institut Ipsos auprès d’un échantillon de 1 000 grands-parents de petits-enfants âgés de moins de 18 ans, près d’un tiers (32 %) des personnes interrogées disent épargner pour leurs petits-fils et petites-filles. L’étude n’apporte pas de précision sur le montant moyen thésaurisé, lequel est destiné à financer leurs études supérieures, leur première voiture, mais aussi leurs vacances entre amis.
Si les grands-pères et grands-mères se soucient du futur de leurs petits-enfants (ils peuvent, par exemple, souscrire un contrat d’assurance vie au nom d’un descendant mineur et programmer des rachats partiels dès que ce dernier atteint sa majorité), ils ne manquent pas répondre aux besoins immédiats de leur progéniture. Ils dépensent en moyenne 1 650 euros par an pour gâter les enfants de leurs enfants, révèle toujours L’Observatoire E.Leclerc des Nouvelles Consommations.
« L’envie de faire plaisir » aussi
La quatrième place est occupée par le budget dédié à l’alimentation, qui atteint 243 euros par an. Pour ce poste, les grands-parents sont 84 % à déclarer débourser « un peu » ou « beaucoup plus » qu’à l’ordinaire quand ils gardent leurs petits-enfants autour de la table, notamment pendant les vacances scolaires.
Autres dépenses annexes auxquelles participent les papys et mamies : l’argent de poche (170 euros par an), les vêtements (148 euros par an) et les loisirs (101 euros par an). Des loisirs pour lesquels 80 % des personnes interrogées se déclarent prêtes à dépenses davantage, quand 74 % sont disposées à faire un effort financier supplémentaire pour les cadeaux. La motivation principale avancée par 57 % des répondants ? « L’envie de faire plaisir ». C’est bien connu : quand on aime, on ne compte pas…
Source : https://nouvellesconso.leclerc/les-grands-parents-depensent-sans-compter